2 Avril 2017
Chers honnêtes Internautes au Net exigeant,
Présent’ment Aley4k
Je vous propose, en vrac
Mes mots tordus, moteurs du cœur de mes écrit
Alors sans mépris et sans m’écrier
Je vous souhaite la bienvenue
Ce « Blog à Blague » d’apparence sans bugs ni lag
Il s’insère avec certitude en mon âme sincère
Ce blog, je le veux enjoué
Je veux en jouer aussi
Cheveux d’ange et saucisses !
Je note, sans rien ôter
Bon je sais
C’est le premier essai et c’est âpre un peu
C’est à peu près précisément ce dont je ne m’étais pas apprêter
J’vais rev’nir à un langag’ courant
Bien qu’ ça n’engag’ que moi
Car le langag’ qu’à cours en c’ moment
C’est l’texto, l’SMS ou encor’ « Message »
C’est un langage dur pour nos mots
Un langage illettré qui triture les lettres
Et les laisse esseulées
Désolé d’être lourd…heu… Désolé d’êtr’ relou… Heu… Désolé d’être loup…Nan… Désolé d’être relou,…ahhh
Désolé d’être heureux, Lou !!!
Bref, ce langag’ de troufions, atrophiant nos palabres ne nous met pas à l’abri du dérapage !!!
Ne vous méprenez pas
Non je ne défends pas « Anarchaïquement », les messieurs de costumes…
Ces messieurs qui vêtus d’un vert rare et parés d’or luisant, scellent leurs basses idées dans nos définitions, et les orientent expressément vers leur ordre du bien pensant…
Le p’tit Robert et Larousse y font un beau coupl’ trouvez pas ?
Non
Du coup j’me trouve entre les Hauts et les Bas…
Trop réac pour les Bas
Trop prolo pour les Hauts…
C’est alors tiraillé, que je me suis tiré ailleurs
J’ai décidé d’nicher sur un arbre à coté.
Un arbre où les mots sont autorisés à être triturés, sans torture et avec respect…
Un arbre où les lettres muettes ont envie de chanter
Où les mots à rallongent, Ne subiront jamais
L’Ex-Com-Mu-Ni-Ca-Tion
Un arbre où l’exception sera une règle de l’inspiration.
Sans sens obligatoire ni passage interdit et vice versa, un arbre surtout visser vers sa terre et viscéralement intègre…
Un arbre où l’on s’amuse et où on se sent bien, tout simplement…
Sur ces mots doux, d’ici je vous laisse.
Alors à la r’voyure
Aux heur’ de l’art voyeur…